Vous
Citation: Quand on jette des hommes à terre suffisamment fort, ils rebondissent
Âge : 17 ans
Lieu d'habitat : Toulouse
Statut : Etudiant
Loisirs : La liste serait très très longue
Comment avez-vous connu le forum ? Une amie sur MSN m'en a vait parlé il y a pfooouuu ... Mathusalem, mais je suis retombé dessus avec un topsite ...
Un avis sur le forum : Le design est sympa, reste à savoir si le reste l'est aussi...
Le personnage
Prénom : Naflin
Nom : Ehneth
Âge : Physiquement, il a l'air d'avoir 16-17 ans, l'âge de sa mort... Depuis, près de 30 ans ont passé ...
Histoire :
Le jour où Naflin est mort, personne ne l'a su. Pas même lui.
Chacun faisait la fête, c'était noël, et quand Naflin a sauté, personne ne l'a remarqué. C'était la fête, tout le monde dînait, tandis qu'une flaque de sang se répandait sur la neige d'un blanc sublime. Empalé sur un arbre mort, dans une position évoquant un ange s'envolant tandis que lentement, goutte après goutte, son sang se déversait sur le sol. Cette scène n'était pas sans rappeler une macabre réplique des décorations de noël.
Il aurait pu errer laisser enfler sa souffrance, et y perdre son cœur, malheureusement pour lui, cette étape fut précipitée par l'arrivée d'un mort ayant déjà perdu le sien. Derrière son masque blanc, ses petits yeux rouges ne montraient qu'une faim dévorante...
Pourtant, Naflin ne fut pas le repas de cette sinistre créature, les ombres furent dispersées par l'éclat d'une lame, qui par la suite vint à pourfendre ce sinistre masque ayant volé sa couleur à la neige, maintenant rouge du sang versé par le cadavre de Naflin.
Envoyé au Rukongai, il est resté immobile, pendant plusieurs années. Il ne voulait pas être en paix, mais purifié de force, il ne pouvait plus passer à un état où son mal-être et sa souffrance pouvaient se concrétiser. Tandis que le temps passait, et que le corps de Naflin restait résolument inerte. Exactement à l'opposé, son esprit quant à lui s 'emballait, tout d'abord, il créa une sorte de monde imaginaire dans lequel s'engouffra sa rage et sa colère, des tempêtes, des explosions, des séismes, son esprit créait des mondes entiers pour les détruire par la suite sous le coup de sa furie.
Une fois que ces sentiments y furent enfermés, sa haine de toutes choses fut mise à nu, et de la même manière, il créa des mondes peuplés d'humains bestiaux, dominés par la haine de Naflin, ces derniers détruirent eux-même cents mondes, causant mille guerres.
Libéré de sa haine, la source de cette dernière fut réveillée. Une souffrance et une tristesse sans nom fut la cause des premiers mouvements de Naflin. Des larmes s'échappèrent de ses yeux. Chacune chargée d'une partie de sa douleur.
Une éternité s'écoula en une larme, mille gouttes en un battement de cœur. Depuis sa mort, le temps n'avait plus ma moindre importance. Mais peu à peu l'océan de sa tristesse qui s'échappait à travers ses larmes se vida.
Vide.
Plus aucune émotion, aucune pensée, aucune sensation ne s'agitait dans son esprit. Mais ce silence d'apparence, n'était pas absolu. Une sorte de mélodie, issue de ses souvenirs les plus profonds, et que le vacarme incessant de ses pensées rendaient inaudible eut alors le champ libre.
Au gré des notes de cette musique, son esprit se remit à fonctionner, mais sans couvrir cette harmonie. Tout d'abord à la vitesse d'un glacier, d'autres mondes furent rêvés. Des forêts s'imaginaient sous un ciel gris, qui vira ensuite au bleu... Le disque d'or de l'astre du jour fit son apparition, et dans ce songe, la vie prospéra.
Une fois que ce ne fut plus qu'un magnifique jardin, où senteurs, couleurs, et sons étaient rythmés par la musique de son esprit, cette vision fut refermée comme une boite, et placée dans un coin de son esprit.
Naflin était guéri.
Pour la première fois depuis qu'il avait été envoyé au Rukongai, il ouvrit les yeux.
Un lever de soleil sur une mer calme fut la première image qu'il eut. L'odeur iodée de la mer fut sa première odeur. Le flux et reflux des vagues, son premier son. Tandis que dans son dos, la première chose qu'il toucha fut du bois.
Il se retourna et vit un arbre dont la base avait poussé dans son dos, alimenté par les larmes de Naflin. Il avait prit la forme de son dos et de sa tête, et semblait être âgé d'une vingtaine d'années.
Cet arbre fit rire Naflin, pour la première fois depuis un quart de siècle.
L'une de ses branche fut sacrifiée pour lui faire un bâton. L'aidant à se diriger vers la ville qui se profilait à l'horizon, à l'opposé de la mer.
Après deux jours de marche, il y parvint, bien décidé à se trouver quelque chose à manger : il avait faim. Pourtant, il eut beau chercher, il ne trouvait pas de nourriture, comme si personne n'avait besoin de manger. Dans sa quête visant à trouver de quoi se sustenter, il parvint à des quartiers plutôt mal famés, et fut attaqué.
La peur, eut une sorte de déclic chez lui, et ouvrit alors l'une des visions de mondes qu'il avait soigneusement fermées et mit dans une partie de son esprit. C'était un monde imaginaire où les humains, alimentés par la haine avaient fabriqué d'immenses structures de métal, des armes pour s'entretuer. Mais cette situation avait fait naître la peur dans leurs cœurs, et ils ne s'étaient pas tous entretués. C'est cette peur qui servit alors de clef. Elle ouvrit le rêve, et l'envoya dans le bâton qu'il tenait à la main.
Un formidable afflux d'énergie mentale passa sur cette arme improvisée, la transformant. Par la suite, Naflin fut incapable de discerner ce qui faisait partie du rêve, ou de la réalité, il luttait contre ces bandits, à moins que ce ne soit des golems de métal créés par les habitants de l'un de ses rêves de haine.
Toujours est-il qu'a la fin, il se retrouva seul dans une ruelle, le soleil se couchait embrasant le ciel d'un éclat ocre, Naflin portait dans sa main une sorte de tige de métal, d'à peu près deux mètres de haut, et épaisse d'un peu plus d'un centimètre. A ces deux extrémités se trouvait un renflement où l'épaisseur avoisinait les trois centimètres.
Au sol, se trouvaient 5 personnes salement amochées.
Il se baissa vers l'un d'entre eux, qui ne semblait juste K.O. et attendit qu'il se réveille. A travers une longue discutions, il apprit comment fonctionnait le monde des morts, et que vu ce qu'il lui avait mit, à lui et à sa bande, il ferait bien d'aller voir du coté des Shinigamis.
Caractéristiques physiques :
Naflin a l'apparence d'un adolescent, il a des cheveux noirs et se sert d'une bande de tissu comme d'une coiffe, la peau hâlée, et des yeux d'un gris clair, se chargeant de couleur lorsqu'il rêve. Son visage a très souvent une expression absente, les yeux fixés sur l'horizon. Il porte des vêtements colorés à la coupe exotique, n'en déplaise aux uniformes qu'il abhorre., a savoir un gilet orange et bleu, une ceinture de tissu verte, et un pantalon rouge foncé. Il porte aussi deux bracelets de couir a ses poignets.
Caractère : Naflin est quelqu'un de très rêveur, et lorsqu'on parle avec lui, il n'est pas rare d'avoir la désagréable impression qu'il est ailleurs. Toutefois, c'est quelqu'un de loyal et d'honnête, nantit d'une certaine créativité qui fait qu'il a tendance à aborder les problèmes de manière originale, ce qui peut parfois surprendre.
D'autre part, vis-a-vis de ceux avec lesquel il peut avoir des relations amicales, on remarque qu'il adore emmerder ceux qui sont imbus d'eux-même. C'esnt est presque maladif. Toutefois, les personne dont l'orgueil n'est en rien exacerbé l'apréciront surement pour son sens de l'humour, et sa loyauté.
Zanpakuto : Mayume (Ma = vrai, original, pur ; Yume = rêve) [encore inconnu]
Shikaï: Naflin doit dire "Commence à rêver ... Mayume", et son Zampakuto se disperse sous la forme d'une brume qui se condense pour former des objets inanimés selon le rêve que Naflin envoit dedans. Etant donné que ces objets sont formés d'une sorte de poussière, il lui est impossible de faire des tranchants.
Bankaï: Là aussi, Mayume forme une brume, mais celle-ci se condense pour former des personnes issues de ses rêves, monstres ou simples humaïdes.